On comprendra facilement que pour que la tête arrive aujourd’hui et le reste demain, il faille être fortement penché en avant. Avant Truffle Farms, il est possible de retrouver les traces de deux sociétés britanniques liées aux activités truffières de M. Waddell. » 10,000 francs distribués entre 700 ouvriers, ce n’est pas tout à fait 15 francs par tête, c’est environ à centimes par journée de travail, et ce dividende si minime est annoncé comme éventuel, problématique. La part des travailleurs aux bénéfices, dans l’année où elle s’est trouvée le plus considérable, eût donc été de 8 francs environ par tête ; mais l’on n’avait admis au partage qu’un peu moins du quart des ouvriers présens, soit 205 sur 875, et l’on put distribuer à chacun de ces privilégiés un dividende de 35 francs! Ces deux usines, constituées sur le modèle de la houillère Briggs, n’ont pu distribuer le moindre dividende aux ouvriers. Une part de 5 pour 100 des bénéfices à répartir individuellement entre 700 ouvriers donne peu de chose à chacun. Dans quelques établissemens, les bénéfices octroyés aux ouvriers ne leur sont pas immédiatement distribués, ils constituent un fonds de réserve qui devrait contribuer à combler le déficit, s’il venait à s’en produire; dans d’autres maisons, il est stipulé qu’en cours d’entreprise, le compte collectif des ouvriers sera crédité d’une part de bénéfice dans les bonnes années et débité d’une part de perte dans les années mauvaises
Ici, Schwob éclata d’un rire si bruyant, accompagné de tels grondements de colère sous-jacente, que René Heymann me confia : – Mon petit vieux, ce Schwob est joliment mal élevé. Se trouvant à Guernesey chez Lockroy, en compagnie de l’avocat hébreu Ignace, personnage bavard et sot, qui avait l’air, à l’époque, d’un grand pantin d’Orient désarticulé en bois verni noir, Schwob me confiait : « Il me donne envie de vomir. Quand Ignace, qui parle vite en bredouillant et secouant la tête, lui adressait la parole, il évitait de lui répondre autrement que par un haussement d’épaules, en soufflant avec force en signe de mépris. Un explorateur du nom de Dutreuil de Rheims, ami de Schwob – détail qu’ignorait Ignace, – ayant été tué par les indigènes, Ignace, gaffeur héroïque, tourna cette mort en plaisanterie. Pour comble de déveine, débarqua à Guernesey un autre juif, tout à fait inoffensif celui-là et de tendances mondaines, du nom de René Heymann
Les Homélies et les Lettres ont été trad. La Fable des Abeilles a été trad. Elle a été publiée pour la 1re fois en français à Lyon en 1480 et plusieurs fois réimprimée, notamment en 1839, à Londres, truffe noire par J. O. Halliwell, en anglais. MANDUBIENS, Mandubii peuple de Gaule (Lyonnaise 1re), entre les Éduens au S. et les Lingones au N. E., avait pour ch.-l. On distinguait les Manes en bons et méchants; on rapportait à la 1re classe les dieux Lares et les Pénates, à la 2e les Larves et les Lémures. MANES (les Dieux), Dii Manes, étaient, dans la mythologie des Étrusques et des Romains, les âmes des morts considérées comme divinités infernales. MANDINGUES, famille de peuples africains appartenant à la race nègre, est répandue sur les bords de la Gambie et dans plusieurs des roy. Il est bien d’autres combinaisons heureuses auxquelles l’on peut avoir recours, sans aller jusqu’à la participation proprement dite. Après avoir pillé les caisses des fermiers des impôts, il en vint à attaquer des villes importantes (entre autres Beaune et Antun), et mit en déroute plusieurs détachements envoyés contre lui. Alesia (auj. Alise). Ils occupaient le centre et l’O. Commerce de vins, grains, bois, bétail
Nous avons 3 pôles distincts qui sont : le pôle « Comptoir » dirigé par Marie, Tannegui et leur équipe dispersée sur tout le territoire, le pôle « Truffes » emmené par Olivier et sa bande de canidés et pour finir le pôle « Saveurs » avec à sa tête Aurélie. Ces truffes sont faciles à réaliser. La main-d’œuvre y a une importance prépondérante, soit parce que le capital y est relativement minime, soit parce que le bon entretien de ce capital y dépend complètement du bon vouloir de l’ouvrier; la surveillance y est impossible ou malaisée, parce que les ouvriers sont disséminés ; le régime du travail à la tâche, des primes à la production ou à l’épargne des matières, des retenues pour malfaçons, n’y est point d’une application facile et suffisante; enfin la prospérité de toutes ces industries dépend moins de la capacité commerciale des directeurs, de leur entente des affaires, de l’habileté de leurs spéculations que de l’administration intérieure et du zèle du personnel ouvrier. D’un autre côté, la capacité commerciale des directeurs n’a qu’une faible place dans les résultats de l’entreprise, il n’y a pas beaucoup à combiner ou à prévoir ; l’industrie extractive est par sa nature même rudimentaire, les succès y dépendent surtout de la situation des lieux, de l’abondance des gisemens et de la qualité du personnel ouvrier